Quelques mots brefs pour ceux qui ont participé de loin à notre déplacement touristique:
à ceux à qui cela rappelera un lointain séjour sponsorisé par l'employeur, ou d'un stage de fin de longues études avec l'aide d'un guide papier bien utile et d'une carte routière indispensable( => assurance tout risque)

à mon banquier local qui a toujours des devices de son pays d'origine (on gagne encore et toujours son business en dollar), mais comme on a tenté de relancer l'économie mondiale, on a aussi tiré sur la CB (et là c'est mon vrai banquier qui s'est refait une santé avec les frais
à tous les amis routards qui nous ont dit du bien sur cette destination
à tous ceux qui se sont inquiétés de ne pas recevoir de nos nouvelles pendant cette période
et pour conclure à tous ceux qui cherche une destination d'évasion, nous ne serions que leur conseiller (et pourtant je n'étais pas l'un des plus motivés avant d'avoir visité
et comme dirait l'autre le vendredi soir : bon vent
à ceux à qui cela rappelera un lointain séjour sponsorisé par l'employeur, ou d'un stage de fin de longues études avec l'aide d'un guide papier bien utile et d'une carte routière indispensable( => assurance tout risque)

à mon banquier local qui a toujours des devices de son pays d'origine (on gagne encore et toujours son business en dollar), mais comme on a tenté de relancer l'économie mondiale, on a aussi tiré sur la CB (et là c'est mon vrai banquier qui s'est refait une santé avec les frais
à tous les amis routards qui nous ont dit du bien sur cette destination
à tous ceux qui se sont inquiétés de ne pas recevoir de nos nouvelles pendant cette période
et pour conclure à tous ceux qui cherche une destination d'évasion, nous ne serions que leur conseiller (et pourtant je n'étais pas l'un des plus motivés avant d'avoir visité
et comme dirait l'autre le vendredi soir : bon vent

à laquelle j'ai toujours resisté (c'est pareil avec les allemands)


Le bus SAMTRAN nous amène en 1h à la 4th de Mission St, où sans GPS mais avec un bon sens logique de l'orientation (droite, gauche, devant, derrière) pour se diriger vers Market St, on arrive sur Halallie square (inventeur du principe du cable car) aprés avoir croisé quelques mendiants sans-abris (c'est ça aussi l'Amérique) pas trop insistants.
la plaque tournante du cable car : attraction touristique au patrimoine de l'Unesco[ principe de câbles tendus qui tirent quelques vieux wagons dans lesquels s'entassent essentiellement les touristes
pour escalader les collines (là on a affaire à de bonnes montagnes russes - rien à voir avec les 7 collines de Rome) auquel on a installé en bout de ligne un système de rotation manuel (pourquoi faire compliqué quand on peut faire simple].


complexe impressionnant de magasins sur plusieurs étages
que nos Galeries Lafayette paraissent microscopiques à côté.
Un en-cas (soupe de légumes, ça existe ici), les sodas sont à volonté (tu m'étonnes qu'ils prennent du volume avec le sucre qu'ils ingurgitent), mais pas la bière ni le vin!!!;
et hop au lit.

où une particularité locale fait grand bruit et animation en osmose avec la réputation de la ville : les phoques installés dans le port se font remarquer bruyamment, au grand dam des marins qui doivent laisser leurs anneaux à ces mammifères protégés.

Russian hill en passant par Lombard street,


financial district et sa tour pyramidale



jusqu'au stade de base-ball des Giants, une autre particularité,
puisque c'est la même franchise qu'à l'autre bout du pays (New York).
réalisé au départ avec de la toile de Nîmes (cocorico), on continue de relancer l'économie US, mais j'abandonne mes 501, pour des 514.



pont à voies superposées sans trop de difficulté (j'avais préparé les directions et rues à prendre, c'est indispensable), mais je ne prends pas le loisirs de jeter un oeil touristique, concentré sur la circulation.
Un autre voyage sera à programmer pour cela.
et nous découvrons donc les joies du KOA, sorte de camping mais sans trop d'emplacements pour les rudes campeurs,
mais plutôt une majorité pour les camping-cars (imposants et surement confortables), et surtout quelques cabanons en bois (cabin, au confort élémentaire) que nous allons testés.
Comme on est parti léger (à part les gourdes,un couteau et des duvets peu encombrants - 640 gr), nous partons chercher un en-cas dans le village de style burger local, mais sans rajouter les sauces à disposition qui laissent des traces (et pas seulement sur les vêtements).
half dome,
qui malheureusement n'est plus qu'un filet d'eau à cette époque de l'année; la particularité de cette balade pour nous concerne le chemin emprunté qui est trés correctement cimenté sur un grande partie (pour en permettre un accés plus large surement, éviter les pertes humaines, et les nuisances en tout genre) avant l'ascension finale pour laquelle il faut abandonner les poussettes (et les enfants?!?véridique);
dans ce cadre-là, la fréquentation est à la hauteur de l'investissement (on croise beaucoup moins de monde pour faire l'Aneto ou le Vignemale).
Départ matinal pour traverser le parc en voiture, accompagnant pas mal de cyclistes sur les "lacets" encadrés de séquoias, sapins, chênes, lac si vaste qu'on en voit pas l'autre bout.
On roule jusqu'à LONE PINE, où la réputation d'une table impose un arrêt gastronomique; cependant dans cette ville style cowboy (rue principale avec baraques en bois de chaque côté)
au pied du Mont Whitney, sommet le plus haut de la sierra (4481m), le "season" n'est ouvert que le soir; on se contentera donc d'aller au "Totem" en restant traditionnel pour se caler avant d'attaquer la vallée de la mort (si tu y vas le ventre vide, t'as peu de chance de survivre).
mais cela ne rebute pas quelques cyclistes masos qui se sont lancés le défi de la traverser; quelques particularités géologiques comme des dunes de sable de type sahara,
où l'eau de source de la piscine est presque bouillante.On obtient la dernière chambre elle aussi à un prix hot, qui plus est pour une courte nuit
car nous allons assister au lever du soleil à Zabriskie point, 
à majorité française (les 1ers que nous rencontrons).
ses hôtesses légèrement vêtues, ses bistrots, crêperies,places.
Sans oublier le mythe vivant américain Harley Davidson qui a son bar,


la chaleur (il fait aussi chaud que dans la vallée de la mort), le froid de la clim, on en a oublie une règle encore plus appliquée ici : on ne mange pas tard - on ne vit pas à l'espagnole - et on est obligé à 1h de passer chez McDo ( c'est comme une nouveauté en quelque sorte depuis plus de 15 ans que je n'y avais pas mis les pieds).
et de standing pour aller se mettre au frais dans la pyramide du Luxor, et ce qui est encore plus incroyable, pour le même prix qu'un motel.
où copieux, qualité et service attentionné riment ensemble, dans un décor nord-africain, surprenant, comme le sont aussi les efforts pour créer une ambiance associée dans les autres casinos :
les gondoles sont au Venetian et les gondoliers baraguinent italien,
les pubs de New York sont remplis de chaleureux clients qui descendent la bière en chantant forts, 
les jeux d'eau en musique sur le lac du Bellagio battent la cadence;
Le soir dans le créneau horaire imposé, on ira au buffet du Luxor
parmi les fouilles archéologiques dans le thème de la pyramide.
Aprés cet intermède plus qu'animé, nous partons tranquillement vers notre 1er canyon, plutôt un parc national comme ils disent là-bas;
ça nous dégager du temps pour aller faire un petit tour de 2h dans le canyon à la tombée du jour et surtout au calme, car la majorité des touristes sont déjà rentrés (à part 2 ou 3 un peu trop bruyants à notre goût).





s
et là au désespoir tu avales un breuvage dont l'odeur te rappelle le camphre que tu te passais sur les cuisses l'hiver avant de rentrer sur la pelouse (plutôt le champs, parce qu'à notre époque, c'était une autre époque) - c'est une expérience pour nous gaulois (il parait que cela fait un tabac chez eux, et on leur laisse,même avec la crème glacée);
de teintes rouges,orangées, rose, jaunes, crèmes et même blanches;
puis une descente dans le coeur du site entre les roches, les falaises
un effet magique supplémentaire avec le contraste du ciel qui se noircit, 

Les images sont gravées dans nos esprits, tellement c'était exceptionnel

mais aux paysages tellement incroyables encore que je n'ai presque plus de place dans ma mémoire pour les graver;
ça monte, ça descend,ça tourne dans tous les sens, ça change de couleurs, de formes, de végétation jusqu'à rencontrer même
des paysages de type été indien québécois sur les sommets à 3000m, 
de civilisation aussi : on fait une halte pour prendre des forces à Escalante, au golden loop,
et on se retourne dans un autre siècle avec les cow-boys au comptoir (mais les chevaux ont été remplacés par des vapeurs 4X4), une femme comme tenancière qui ne paie pas de mine, mais qui fait tourner la boutique avec ces messages suivants clairement affichés :
pour une cuisson en douceur des pavés de beauf énormes est presque aussi souvent photographié que les paysages alentours, et les quelques bières descendues vaudront à Michèle son surnom Navajo "descente de bière facile".

en nous grillant des pièces de beauf sur le BBQ avec conserves de chili accompagnés de vin rouge californien (version moderne à la frenchie).
ou en attente de lifting (sans botox), 
clôturant l'élection de la miss avec laquelle je pourrai poser
et même embrasser à sa demande (si, si!!!) , sans en demander l'autorisation à G.De Fontenay.
Sur cette portion du tracé
Nous continuerons à travers les contrées d'indiens
accompagnés par les diligences modernes
un paysage de farwest nous amène à Newberry springs
une bière pour la route, direction Barstow qui ne nous laissera pas un souvenir impérissable, si ce n'est l'anecdote gastronomique dans cette ville amorphe pour un samedi soir (Cabrel n'a pas dû s'inspirer ici); A part les burgers, peu de choix si ce n'est ce "pizza palace" où semble-t-il toute la population de sortie se donne rendez-vous ce soir-là;A voir les coupes et les photos d'équipe de foot féminin qu'ils sponsorisent surement, le retour sur investissement est garanti!!!
nous approchons du but, et le changement se fait inconstablement sentir : routes énormes dans tous les sens à partir de San Bernardino, traffic trés dense, une organisation à mettre en place et une décision stratégique à prendre rapidement s'impose pour bien se diriger (Michele comme pilote, Patrick au GPS).
Avant de rentrer, nous décidons de séjourner au bord du pacifique et notre point de chute sera Newport beach à proximité Sud de L.A,
station balnéaire à la fréquentation aisée à en voir les yatchs et maisons le long de la plage.
La halte repos permettra à Michèle d'admirer les surfeurs en action sur les petites vagues,
pour en définitive assister à la défaite de L.A contre les Red Sox de Boston au Base-ball.
et côté street commerciale et piétonne (la 3rd)!!!
Départ à l'aéroport, aprés avoir photographié l'importante communication pour l'arrivée de l' A380 à L.A avec Qantas (c'est à signaler car pas trés chaud avec les français).









