Comment dans ce pays puritain, un mirage a-t-il pu pousser et surtout comment avec si peu de miracle, le succès est-il toujours aussi important, même si certains y laisseront leur chemise;
Un concentré de l'Amérique se croise sur les trottoirs, dans les casinos, halls et ascenseurs d'hôtel, aux spectacles en salle et/ou en plein air,dans les outlets où certains arrivent les mains dans les poches et repartent avec les valises pleines;Michèle s'est abstenue se réservant surement pour L.A.
Ou comment dans une ville en apercevoir plusieurs avec des ressemblances importantes :
A New York, nous poserons nos bagages au 25ème étage aux lits trop bien, grands et confortables qui donnent envie de se coucher pour dormir, mais pas de suite, plutôt flâner dans Greenwich, Broadway, time square avant de retrouver la cohue, le mot est faible, sur le strip, ni poker, ni tease pour visiter les différents lieux d'inspiration variée comme le MGM, mais les lions sont partis à la retraite et on ne les entend plus rugir, le MM'S pour sucer quelques bonbons, le Harley Davidson café, où les Hell's Angels y retrouvent leurs chevaux favoris, dont les steaks (14 ounces) sont excellents, ainsi que leurs burgers sans sauce (incroyable), au Hard rock café où tu en prends plein les oreilles avec Judas Priest,Ozzy Osborne,Kiss & co, pas vraiment les plus romantiques et calmes, en comparaison au Vénétian avec le charme de ses gondoles, canaux,palais et place St Marc,au Paris avec sa tour Eiffel et ses armatures métalliques qui dominent ses placettes, ses rues pavées des faubourgs, faisant face au Bellagio et son lac alpin aux jeux d'eau, sons et lumières compris évidemment, et j'en passe comme le Luxor et sa pyramide, le Monte-carlo pour son buffet sans Nadal.
Animations permanentes, sons et surtout lumières exceptionnelles, une débauche d'énergie (bonjour aux écolos au passage), mais c'est bien l'image de l'Amérique dans toute sa splendeur, capable du meilleur comme du pire, en plus avec une chaleur accablante de 109°f (43°), un peu moins que chez nous!
Nous taillerons une bavette avec JR et Sue Helen de Southfork, mais si j'ai réussi à comprendre quelques idées de JR ce texan d'origine allemande de Strasbourg (une leçon de géo made in US),j'ai laissé jacquasser Sue en hochant la tête avec mon sourire en coin des plus conscilliants, et le plus surprenant c'est qu'ils ne connaissent pas nos futures destinations à part L.A puisque JR y était né : impressionnant comme ouverture d'esprit.
Heureusement que Derek from TORONTO, un ANGLO-SAXON pourtant échangera en français quelques mots autour d'une bière avant qu'il ne parte à sa convention animale, pas féminine, mais pour les pets familiers dont il fait le commerce lucratif;les canadiens assurent surtout les Québécois évidemment auxquels on pense de temps en temps (bises à Julien & co).
Malheureusement pour nous, nous rentreront au bercail moins riches que souhaité puisque notre passage aux machines à sous s'est terminé par un solde négatif, même si on a eu droit pour commence par profiter des gains d'un joueur qui est parti sans les jouer!Imaginez qu'on ait gagné sur ses mises?pas de miracle cependant, même avec la chaussure de cendrillon.
cette étape complètement folle, FULL CRAZY, comme dans un film démesuré, presque irréel, d'un autre monde se termine pour un changement radical à la prochaine étape.
Bugsy, Marylin,Britney
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dimanche 28 juillet 2013
vendredi 17 décembre 2010
LAS VEGAS
Rapprochement éloigné entre Arcachon, station balnéaire de la côté atlantique, (à une soixantaine de kilomètres de Bordeaux) qui possède un casino,
mais qui ne peut se comparer à ceux de Las Vegas, car ici c'est plutôt limité à tous les niveaux :
On veut se la jouer, mais un stage de formation outre-atlantique s'impose!!!
On sort alors l'artillerie lourde avec la Chrysler limousine, taille XXL .
qui se balade dans le coin de la dune du Pyla pour quelques badauds

- déjà l'accueil, agressif et peu aimable, demandant les papiers d'identité sur un ton que
même les policiers de nuit n'utilisent pas pour interpeller les malfrats
- ensuite les lieux, dont la surface serait comparable à un tripot de la prohibition,
à l'opposé des fastueuses constructions avec mises en scène extraodinaires de Vegas
- et enfin, avec l'interdiction de jeter un oeil autour d'une table poker
(de quoi mettre sur le derche le Chabal et le Bruel)
On veut se la jouer, mais un stage de formation outre-atlantique s'impose!!!


samedi 11 octobre 2008
Toujours plus à l'ouest

Nous voilà donc à l'initiative de Michèle à nous préparer pour aller découvrir l'ouest américain;
Il est vrai aussi que les avantages d'un euro plus fort que le dollar m'aide à surpasser mes à-priori négatifs sur cette civilisation du "moi je suis le plus beau, je suis le plus fort, je suis le maitre du monde"

Comme il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis, je tente la découverte pour juger sur pièce.
Départ, Mercredi 17 Septembre 2008 - (Merci encore à Air France d'être toujours en retard, et d'offrir ainsi une garantie supplémentaire);
Allez, ça mérite bien une coupe de champagne à bord, mais on ne trempera que les lèvres car les bouteilles sont vite vides et Air France doit faire des économies : pas de supplément, et on n'aura pas mal à la tête pour ce vol de 10h30 à la poursuite du soleil (départ à 12h30, pour une arrivée programmée à 15h30 heure locale à destination à San Francisco avec 9h de décallage à gérer).
Dans ce sens-là, on gagne 1 journée.
Sur un ancestral B747-400 pour patienter, on a droit au film collectif (pas d'écran individuel) pour midinettes "sex & the city" : je n'ai même pas mis les écouteurs, juste le temps de jeter un oeil sur Carie Bradshaw, le double d'Angélique baie des anges;
SAN FRANCISCO

"Tiens bon la vague et tiens bon le vent,
hisse et ho Santiano
nous irons jusqu'à San Francisco, ..."
hisse et ho Santiano
nous irons jusqu'à San Francisco, ..."

Michèle est retenue : pas d'argent déclarée en entrée ???
Zorro la délivre donc des griffes d'une douanière peu amène!!!
L'accueil sur le sol américain n'est pas trés souriant (photo numérique et empreintes digitalisées,sans un mot ni une gentille attention).
Et surtout ne pas faire le malin!

"C'est une maison bleue accrochée à ma mémoire
On y vient à pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent là ont jeté la clé"
On y vient à pied, on ne frappe pas
Ceux qui vivent là ont jeté la clé"

Trouver l'hôtel sur Powell St est un jeu d'enfant vu l'animation concentrée autour du turntable,






La réputation de ville fraiche est confirmée (entrée d'air maritime du pacifique).Par chance, le temps dégagé et ensoleillé nous accueille.
A peine arrivé, on relance l'économie US en allant acheter des lunettes de soleil aux grands magasins d'en face
















pour s'attaquer non pas aux cols, mais au Golden gate qu'on prend le temps de découvrir par la côte

Il faut cependant rester vigilant par rapport aux autres utilisateurs qui s'entrainent pour le prochain tour de France la tête dans le guidon et survitaminés à l'EPO;
Sans oublié, les piétons touristes qui s'arrêtent quand bon leur semble pour la photo souvenir qui s'impose.
L'approche et le franchissement de ce mythique pont a quelque chose de particulier difficilement explicable.

Son histoire, son imposante stature, sa couleur rouge (sans une seule brume l'enveloppant aujourd'hui), son avenir incertain...
La descente de l'autre côté de la rive nous mène vers Sausalito, quartier chic aux maisons cossues agrémentées de voitures de classe supérieure où cohabitent à l'opposé quelques marins "farfelus"

Traversée de la baie en ferry pour retourner à Downtown sur les quais




Cette étape cycliste nous a ouvert l'appétit, nous le ferons local chez Lori's



nous t'avons découvert un oncle d'Amérique, au même nom et origines basques qui a réussi dans le commerce avec son bar-resto au nom bien recherché - fallait y penser - de "Pastis
"Pastis par temps bleu, Pastis heureux"
Une autre étape nous attend ce Samedi, aprés avoir escaladé la côte pour aller récupérer la voiture.
En effet, il faut prendre en main cette petite voiture - d'aprés la loueuse (qui voulait surtout nous refiler un modèle plus grand, certes, mais surtout pour un contrat qui lui rapporterait plus);
et la voiture, la plus grande que j'ai possédée jusqu'à présent,

Par chance en ce début d'aprés-midi, la circulation n'est pas saturée, et on sort de la ville en prenant l'Oakland bay bridge,

Nous laissons à regret donc San Francisco où au moins une journée supplémentaire nous aurait permis de compléter la visite (Japantown, Haigh Ashbury, Castro, les parcs, les musées qu'on n'a pas visités puisqu'il faisait beau - dommage pour Frida Kahlo, ...);

Chemin faisant, nous découvrons les paysages beaucoup moins citadins où vaquent quelques troupeaux de bovins essentiellement noirs (moins que dans les contrées andalouses);
Cette première longue excursion de plusieurs heures (200 miles) permet de prendre en mains la voiture et surtout à s'habituer à la vitesse qu'il faut respecter pour éviter de faire connaissance avec la police qui veille et qui sort de nulle part.
YOSEMITE
Nous arrivons en ce samedi en fin d'aprés-midi à Mariposa à proximité du parc de Yosemite à la recherche d'un gîte hôtelier que nous ne trouverons pas puisque c'est le week-end et c'est complet (premiers contacts avec un information center, découverte de l'appel téléphonique local gratuit),







Nous profitons du coin pour faire connaissance avec quelques cervidées,
Autre particularité du parc est le système de déplacement par navette pour limiter la polution et les troubles de la faune (bon point).
Retour à Mariposa pour manger plus tôt dans une table au standing bien plus élévé (Savoury's,recommandé chaleureusement par des belges qui aiment boire en mangeant!).




La chaleur se fait vite sentir, montant à 104°F (équivalent 40°C) comme la route d'ailleurs (2000m de dénivellé),






LAS VEGAS
La route matinale (donc plus fraîche) nous mène ensuite à Las Vegas à mi-journée, en ce lundi, où 6 congrés sont programmés, ce qui rend plus difficile le choix d'hébergement (bad luck);






Pris dans ce délire à visiter, par l'animation permanente, la foule qui déambule sur les trottoirs, dans les casinos, le bruit des machines à sous et des tables de jeux, les jeux de lumière,

Ce n'était pas prévu au départ, mais comme il y a tellement de chose à voir, on va changer d'hôtel,

Comme on ne s'est pas trop bien callé la veille, on va se calquer sur leur rythme, pour aller au buffet du Monte Carlo,









ZION CANYON
Nous arrivons à Springdale , en début d'aprés-midi pour être tranquille

Reste 2 solutions: retour en arrière à 3/4 d'heure, ou comme le propose Michèle, dormir dans la voiture (ça c'est l'autre surprise) =>la solution retenue.






Nous prenons nos marques à Cannonville (je cherche toujours les miss) chez KOA où l'accueil n'est pas terrible (des remplaçants peu sûrs),
entre des camping-cars occupés par des anciens au look cow-boys modernes (chapeau, chemise à carreaux,Wramgler,botte, musique de tennessee à donf : ça me rappelle ma jeunesse, le chapeau en moins)
et 2 bikers (barbichette longue en pointe, blouson de cuir et surveste en jean siglés) avec leur bécane Victory,
style Goldwing made in US flambant neuve, concurrençant les Harley.
Comme ce n'est pas à Cannonville qu'on va s'en jeter au moins un, on file vers le village voisin à Tropic, sous les sunlights, pas vraiment puissants dans le coin, pour découvrir la spécialité de l'UTAH, qui est l'état mormon pratiquant leur religion et leurs règles dont 2 principaux points que j'ai retenus : la polygamie (positif, mais quand tu vois comme s'est difficile de satisfaire une femme moderne, imaginez avec 5 ou 6 et la ribambelle qui suit), et l'interdiction d'alcool (négatif évidemment), mais qui est bravé assez facilement;
Ainsi dans un restaurant qui applique, tu te rabats sur la root beer que tu imagines comme de la bière,
et là au désespoir tu avales un breuvage dont l'odeur te rappelle le camphre que tu te passais sur les cuisses l'hiver avant de rentrer sur la pelouse (plutôt le champs, parce qu'à notre époque, c'était une autre époque) - c'est une expérience pour nous gaulois (il parait que cela fait un tabac chez eux, et on leur laisse,même avec la crème glacée);
Tu te fais avoir une fois, et le lendemain tu cherches un resto,celui juste à côté par exemple qui vend du vin pour accompagner avec tes ribs, style nos coustellous (à éviter la version BBQ, badigeonnée de sauce qui gâche).Surprenant, les us et coutumes dans ce pays.
Surprenant aussi, la découverte du site de Bryce : vraiment phénoménale avec ces Hoodoos, sorte de stalagmite,
de teintes rouges,orangées, rose, jaunes, crèmes et même blanches;
Un aperçu de haut,
puis une descente dans le coeur du site entre les roches, les falaises
un effet magique supplémentaire avec le contraste du ciel qui se noircit,
modifiant les couleurs des Hoodoos;
Nous arriverons juste à nous mettre à l'abri avant le déluge.
Les images sont gravées dans nos esprits, tellement c'était exceptionnel
à visiter obligatoirement.
Journée de transition le lendemain, on the road again pour accéder direction le nord au parc de Arches à proximité du Colorado;
Une inspiration bénéfique nous entraine sur la scenic 12, route certes plus longue et moins roulante,
mais aux paysages tellement incroyables encore que je n'ai presque plus de place dans ma mémoire pour les graver;
ça monte, ça descend,ça tourne dans tous les sens, ça change de couleurs, de formes, de végétation jusqu'à rencontrer même
des paysages de type été indien québécois sur les sommets à 3000m, 
de civilisation aussi : on fait une halte pour prendre des forces à Escalante, au golden loop,
et on se retourne dans un autre siècle avec les cow-boys au comptoir (mais les chevaux ont été remplacés par des vapeurs 4X4), une femme comme tenancière qui ne paie pas de mine, mais qui fait tourner la boutique avec ces messages suivants clairement affichés :

et 2 bikers (barbichette longue en pointe, blouson de cuir et surveste en jean siglés) avec leur bécane Victory,

Comme ce n'est pas à Cannonville qu'on va s'en jeter au moins un, on file vers le village voisin à Tropic, sous les sunlights, pas vraiment puissants dans le coin, pour découvrir la spécialité de l'UTAH, qui est l'état mormon pratiquant leur religion et leurs règles dont 2 principaux points que j'ai retenus : la polygamie (positif, mais quand tu vois comme s'est difficile de satisfaire une femme moderne, imaginez avec 5 ou 6 et la ribambelle qui suit), et l'interdiction d'alcool (négatif évidemment), mais qui est bravé assez facilement;
Ainsi dans un restaurant qui applique, tu te rabats sur la root beer que tu imagines comme de la bière,

Tu te fais avoir une fois, et le lendemain tu cherches un resto,celui juste à côté par exemple qui vend du vin pour accompagner avec tes ribs, style nos coustellous (à éviter la version BBQ, badigeonnée de sauce qui gâche).Surprenant, les us et coutumes dans ce pays.


















"This is not a burger king, you get it my way or not at all"
"Don't let our sweet smiles fool you, we are cruel & vicious women"
"Don't let our sweet smiles fool you, we are cruel & vicious women"
accompagné d'un colt , ce qui a le mérite d'avertir la clientèle;
Toujours là pour vous le raconter, donc on s'est bien tenu à carreau.
Toujours là pour vous le raconter, donc on s'est bien tenu à carreau.
ARCHES
On arrive donc à Moab pour prendre possession de notre cabin au KOA aprés avoir traversé une zone désertique sur la route 24,droite sans âme, où Michèle a aperçu les fortifications de Carcassonne (effets secondaires de l'alcool mormon?).
Moab est une ville sportive, avec de nombreuses activités de plein air, comme le rafting sur le colorado, canyonning, VTT, deltaplane, parapente,etc;
Aprés avoir pris des forces dans un resto et sympatisé avec nos voisines de table de San Francisco, Hanna et Delilah, nous nous contenterons de gambader plusieurs heures dans le parc de Arches,
qui comme son nom l'indique est parsemené de formes en voûte sous une chaleur de plomb comme à "Khoumak,40° à l'ombre, mais il n'y a pas d'ombre";
Nous fumerons le calumé de la paix sous l'arche des Navajos
avec un snake qui me narguait un peu trop (j'ai failli y marcher dessus, et cet enfoiré malgré mes trépignements assourdissants et les cailloux balancés, ne se bougeait pas, nous barrant le chemin de tout son long : j'ai pris sur ma phobie et mon sang-froid, (exceptionnel dans ce cas-là) pour le faire partir lentement;
ce n'est que retrospectivement que j'en ai eu les frissons, mais je n'ai pas fini pour autant le parcours au pas de course (une victoire pour moi;)).Vous comprendrez facilement l'absence d'image pour ce moment-là.
On arrive donc à Moab pour prendre possession de notre cabin au KOA aprés avoir traversé une zone désertique sur la route 24,droite sans âme, où Michèle a aperçu les fortifications de Carcassonne (effets secondaires de l'alcool mormon?).
Moab est une ville sportive, avec de nombreuses activités de plein air, comme le rafting sur le colorado, canyonning, VTT, deltaplane, parapente,etc;
Nous fumerons le calumé de la paix sous l'arche des Navajos
MONUMENT VALLEY
Direction le Sud pour aller sur le territoire restreint des Navajos
Au passage, nous avons fait un détour peu couru par les touristes dans la Valley of the gods qui le mérite vraiment,
un crochet par le goosenecks pour admirer les méandres tortueux de la rivière, le contraste étant saisissant.


En arrivant à Flagstaff, un autre monument de la découverte de l'ouest fait une apparition sonnante et trébuchante:
"et j'entends siffler le train,Que c'est loin où tu t'en vas"
Ces convois d'une longueur infinie, chargés de conteneurs superposés,

WILLIAMS
Petite bourgade où une des attractions est justement une vieille locomotive

GRAND CANYON
L'impression du site sera mitigée par la présence de la foule, par le temps couvert, par les travaux en cours, par l'obligation de reserver à l'avance pour descendre jusqu'au colorado (randonnée impossible à réaliser dans la journée).
ROUTE 66



C'est sous la pluie que nous nous aventurons sur un tronçon de cette route mythique où aprés Williams,





BAGDAD CAFE


Aprés avoir taillé une bavette avec le boss, discret au départ et bien plus affable en suite (entre autre, nous indiquant qu'une vingtaine de pompiers français en harley avait déjeuner là aujourd'hui), quelques photos souvenirs,

LOS ANGELES
Le périple touche à sa fin, et aprés les routes désertes et une certaine tranquillité ambiante,





Enfin, Mardi sera consacré à la découverte des quartiers de Venice, côté mer et côté canaux,



Aprés une longueur interminable de contrôle (il ne faut pas arriver au dernier moment à l'embarquement, autrement vous prenez le prochain vol s'il y a de la place), retour at home dans des conditions difficiles (problème de conditionnement d'air dans notre zone, et la chaleur me fait suffoquer tellement que je ne pourrais rester à ma place pendant une bonne partie du voyage -c'était un Boeing).Cela n'empêchera pas Michèle de son côté de visionner quelques films.
En conclusion, ce voyage qui n'était pas une priorité ni une fin en soi, s'est avéré être une bonne destination agréablement dépaysante avec de nombreuses idées reçues quelques peu modifiées.
LES GENS
La grosse surprise vient de la plupart d'entre eux, qui sont cordiaux, chaleureux, polis et

L'autre grosse surprise est de poids concernant l'aspect physique qui est bien entretenu à San Francisco et à L.A, mais qui prend du volume rapidement dés qu'on s'en éloigne, et quand tu les croises, tu te remets à faire du sport et à conserver une alimentation la plus équilibrée possible.
LE TRANSPORT
Tous les types d'engins sont dimensionnés à une autre taille:
LES BIERES
Aprés l'effort, le reconfort mérité






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