mercredi 8 janvier 2014

samedi 10 août 2013

Sunday beach

Dimanche à la plage, mais on est très nombreux à avoir cette idée, sur la route ça bouchonne, pour se garer une galère de plus, et déjà pour le brunch, il faut patienter sur le trottoir chez Buna, mais on ne le regrettera pas pour le dernier burger énorme, et pas gras,
surtout servi aux petits oignons (vu leurs tailles) par Kim Carnes , à la voix éraillée
qui rappelle les souvenirs de 81 des soirées au psyché, sous les pins à Argelès;


elle mérite son French Kiss qu'elle apprécie!

Venice beach est la scène des sportifs de tout poil (rasés de frais, et bien huilés),les musculeux,
les basketteurs,rolleurs, cyclistes - sans EPO ou autres compositions,
le show du mouvement pour garder une bonne image de son corps,
mais aussi évenementiel, avec le monde qu'il y a, aujourd'hui l'Inde est à l'honneur.
Venice canals est le quartier soft à quelques blocks de la plage, rappelant la version italienne (un peu d'effort)
le black swan attend sa Nathalie Portman, nous aussi

Venice boulevard est une artère sur laquelle notre séjour aurait pu se terminer dramatiquement à quelques minutes près :
http://www.laprovince.be/779728/article/actualite/monde/2013-08-05/une-voiture-folle-fonce-sur-la-foule-a-venice-beach-un-mort-11-blesses-video

A Santa Monica, on retrouvera les mêmes  ingrédients mais en plus tranquille pour le coucher du soleil
Pour trouver un coin tranquille, reste les plages des Landes.

Pour conclure, la journée et le séjour, on découvre la Corée et les surprises gastronomiques  car on est les seuls extra-terrestres à parler un dialecte qu'ils ne comprennent pas : on ne tombe pas malade.

De ce séjour, on peut retenir quelques impressions :

- Il faut faire de l'activité, pas nécessaire de faire du haut niveau
- Manger si possible équilibré, même du Nutella, de façon régulière, en famille, entre amis
- Des paysages toujours aussi exceptionnels
- Des rencontres humaines, des aventures, des anecdotes dont certaines ont été révélées
...

lundi 5 août 2013

Dunes on L.A

L'épreuve tant attendue et redoutée est à la hauteur de sa réputation : un embranchement mal interprété et tu te retrouves sur l'autoroute (qu'on ne payera pas) et 30 miles de plus, un accident qui génère des bouchons, des embouteillages qui te font apprécier la clim :=> la face cachée du paradis!!!

L.A en prend pour son grade et la pression (pas de Samuel Adams au volant) donne quelques signes de crampe (sport US de haut niveau qu'ils vont surement proposer aux J.O pour gagner encore plus de médailles d'or de winners).

Résultat des courses : on arrive à bon port sans égratignure, un exploit vue les conditions, et une certitude : je rentre vivre sur nos côteaux.

Soirée méritée à Larchmont Village dans un secteur protégé aux belles demeures aux jardins nickels, mis en valeur avec les éclairages extérieurs où quelques restos sont pris d'assaut pour le début du week-end.
Destination Hollywood
et ses étoiles,
mais sans avoir la tête dans les nuages, mais plutôt le nez dans les godasses pour un bon coup marketing pour faire venir les touristes qui à défaut de croiser les stars cherchent les noms
gravés sur les trottoirs,
et non dans le marbre
bien que certains sont déjà passés à la postérité...
On commence notre randonnée urbaine aux pieds du Capitol records,
sans croix occitane comme signe de reconnaissance, passant devant toutes sortes de boutiques diverses
et variées
ou pour une nouvelle coupe
ou une nouvelle tenue de soirée
 jusqu'à atteindre le sommet de la concentration humaine
sur les traces des aventuriers du 7ème art.
Pour continuer dans le même effort, mais là c'est le char (et la Crédit card) qui chauffe sur Beverly et sunset boulevard (arrête ton char Ben Hur, Marcel), et un arrêt au stand permettra d'apprécier un nouveau concept de glace que tu goûtes avant d'acheter, que tu agrémentes de suppléments gustatifs à base de fruit ou autres sweeties sans matières grasses, le tout que tu payes au poids (acheté, et non personnel)

Et pour finir de se caler, un saumon chez Louise (emballé, c'est pesé)...

samedi 3 août 2013

Beach city

Après une traversée de désert comme on peut en trouver en Arizona,où les éoliennes font de l'ombre aux palmiers de Palms Spring
on redescend vers le pacifique, en même temps que les températures (ce qui n'est pas plus mal) pour arriver sain et sauf à Costa Mesa, où la circulation s'annonce comme une épreuve (cela promet pour L.A).
Avec insistance, nous atterrissons au triangle, un complexe de divertissement où les asiatiques se donnent rendez-vous au Sutra lounge 
pour une soirée privée très court vêtu
Nous serons à côté au Saddle ranch pour siroter et déguster une glace, et Rebecca,
 fall in love nous offrira une barbe à papa des plus modestes
que nous laisserons à une table avec enfants (pas de gaspillage)

Séance récupération avant d'affronter la dernière ligne droite éprouvante de L.A., sa circulation ininterrompue, ses boulevards et ses boutiques à arpenter,ça promet...

Le pacifique nous tend les bras,même un peu frais, c'est toujours un plaisir de se vautrer dans les vagues.
Une différence notable sur la côte avec le profil des créatures plus affinés, il reste quelques beaux spécimens
sous les yeux attentifs et bienveillants des sauveteurs qui interviendront sous nos pieds sans dommage
Séance le long de la place (super dénivelé) à mater les surfeurs et autres, j'aime regarder les filles http://dai.ly/x9r9dn sur leurs petits tubes
Piscine au calme du Ramada (n), esprit de Fatima es-tu là?
avant un thaï copieux pour changer, à l'américaine quoi, 1 plat nous suffit, le reste doggy bag pour le voiturier

David,Pamela,Victoria

vendredi 2 août 2013

Route 66 - Mother road

Pas de nutella au petit déjeuner, ils sont vraiment incroyables ces ricains à boycotter les meilleurs produits européens (foie gras, roquefort & so on), et avec ça nos députés qui n'ont pas d'autres priorités nous bassinent sur ce produit si inoffensif (avec leurs-nos indemnités, ils pourraient venir constater qu'il y a surement plus dangereux), ça me reste toujours en travers du gosier!!!
Le folklore perdure pour cette aventure des années 50, qui a marqué toute une génération,

la découverte de l'ouest des temps modernes, la seule route à l'époque de Chicago à L.A

Williams est une ville active toute l'année avec un charme naturel
certes courue par les touristes du monde entier (mais moins que grand canyon),
un musée vivant entretenu par quelques irréductibles nostalgiques;

SELIGMAN en est un sommet de préservation du mythe, même si Pedro Delgadillo n'est plus aussi présent, lui qui a beaucoup oeuvré pour la ressusciter.J'avais pris rendez-vous avec lui pour qu'il me taille la barbe, mais sa lame n'est plus très sûre.
Les filles sont toujours prêtes à amuser la galerie, ont conservé la ligne, mais c'était d'un autre temps avant la mal bouffe, la société de consommation et l'éclatement des sacro-saintes valeurs familiales.

Les belles carrosseries n'ont plus le lustre d'antan, et leurs gourmandises excessives aujourd'hui sont rattrapées par la hausse galopante du fuel.

Le tronçon d'une centaine de miles qui résiste à la vitesse des dévoreurs d'asphalte se parcourent tranquillement sans trafic et nous amènera à Lake Havasu dont la particularité est la présence anglaise d'un pont londonien acquis aux enchères par un mécène.
Pourquoi pas la même opération avec le pont neuf, pour découvrir l'art français et en plus cela ramènerait des fonds pour réduire les prix des parkings ou en faire de gratuit à Tlse; Do you heard me, Pierre?

On profitera que le Colorado soit plus clair pour y tremper les pieds tranquillement et sans aucune hésitation bien que moins chaud que la piscine à l'hôtel dont l'entretien laisse à désirer - je rassure mon jardinier saisonnier, j'assure mieux que ça, et surtout le jacuzzi à peine plus frais que la température ambiante du début de soirée - 113°F : bière fraîche indispensable

Johnny, BB, bee-beep

mercredi 31 juillet 2013

Grand canyon

Après un petit déjeuner copieux, toujours pas digéré d'ailleurs, sous le soleil revenu, destination l'un des sites les plus connus au monde (après mon blog) l'un des plus profons et l'un des plus larges (par rapport à la sierra de guarra par exemple).

Pour ces multiples raisons, nous ne serons pas pas vraiment les seuls à vouloir faire la randonnée de Bright Angel pour aller admirer à plateau point le Colorado saumâtre suite aux récents orages; évidemment les transports seront aussi bien complets à nous faire attendre notre tour, mais pour la bonne cause en éviter de se déplacer en voiture.

Une bonne journée à en prendre plein les yeux, en espérant que le funanbule qui l'a traversé dernièrement en a profité.

Destination suivante à préparer à partir de Williams, chez Serena, où notre hôtel nous attend, mais après avoir sillonné en long en large et en travers cette ville, heureusement bien plus modeste que Flagstaff, il n'a pas changé de nom cette fois-ci, mais encore plus surprenant, la réservation a été malencontreusement effectuée en Californie, alors que nous sommes encore en Arizona.

Nous serons donc à la rue pour ce soir!!!

De vrais routards à destination de l'ouest américain comme dans les années 50 : l'aventure, c'est l'aventure

Anasazi, hualapai, yavapai

mardi 30 juillet 2013

Navajo land

On quitte Panguich pour une route de montagne,suivie de plaines désertes secouées par des tempêtes,dont les origines proviendraient de Hawai, pourtant pas la porte à côté, encadrées de barres rocheuses marbrées jusqu'à Tuba, pour une pause étoilée aux 2 arches où se pressent la jeunesse à la peau matinée et aux cheveux noir de jais, ville prémonitoire dont les incantations des chefs Navajo vont déverser des torrents de larmes célestes sur Monument Valley nous obligeant à continuer notre parcours pour un coup de Bluff pour voir...
Sur la route, les esprits baptiseront 'Pieds agiles' notre co-pilote dont les coups de freins intempestifs, question de dosage mal maitrisé tiendront en éveil l'équipage jusqu'à Blanding, à la recherche de notre gîte qui a disparu sans laisser d'adresse et de nom,encore un coup des esprits,et après avoir sillonné les blocks (heureusement pas très nombreux), une intuition apache nous pousse vers le Quality Inn qui ressemble à l'icone du Blue mountain, il n'y a pas de fumée sans feu,réservé seulement il y a 2 semaines via Booking, même oreilles percées interpellé dans sa monture à l'affût de l'ennemi ne pouvait nous l'indiquer, et l'accueil ne fut guère plus chaleureux par l'hôtesse surement en stage, mais qui n'a pas trouvé vraiment sa vocation;
Heureusement, la piscine chaude et le jacuzzi remettront les corps en paix, de quoi ouvrir l'appétit pour le seul resto du coin où nous attendrons notre pizza et notre bière sans alcool (mormon attitude) avant de se faire pousser vers la sortie à 21H : saturday night fever

Le soleil revenu pour la messe dominicale nous permet une visite instructive à Fort Bluff dont le siège a été levé depuis longtemps, et nous permet de vivre une expérience exceptionnelle : incredible pioneers pacifistes ceux-là => http://theholeintherock.com/

L'étape au swinging steack http://www.youtube.com/watch?v=gsb6ZTBw2rc de renommée internationale à Mexican Hat sera annulée au profit des restes partagés avec la chienne locale qui n'en sera même pas reconnaissante : tout fout le camp !

Les Navajo nous voient venir avec nos gros sabots auvergnats et nous demandent 115 $ pour 1/2heures de randonnée : ils nous prennent pour des américains surement;

Nous emprunterons donc la piste défoncée avec nos chevaux vapeurs jusqu'aux  sisters et après une amicale négo, nous obtiendrons a good discount pour une heure à 55$, taxes de 6$ et surcharge de 15$(cavalier seul) offerts pour le plus grand plaisir de 'je m'éclate' LN qui partira avec son Navajo faire galoper son pur sang (I'm an happy cowlady, and a long way from home...)

La chance nous a souri passant entre  les gouttes qui nous accompagneront par intermittence sur la route jusqu'à Flagstaff qui nous accueillera à sceaux d'eau; heureusement qu'une aimable vendeuse tout en finesse nous prendra en sympathie pour nous guider jusqu'à destination (sans profiter de la piscine cette fois-ci).

Geronimo,Telma & Louise


lundi 29 juillet 2013

This is the place - it's the law (Mormon life)

On quitte Las Vegas par une traversée du désert, avec un arrêt à MAOPA,village indien pour le breakfast au Mussy river sous le regard de John Wayne et du chef de tribu, qui nous autorise à tenter notre chance aux jeux sur le bar, faible compensation attribuée en contrepartie des terres confisquées.

Changement de décor pour découvrir du naturel, du vrai en partant au nord et en changeant de state pour se retrouver dans l'Utah, chez les Mormons (greetings to Judd's family) qui ne badinent pas avec la loi, un exemple qu'on devrait appliquer chez nous pour être normal...
On ne te prend pas par surprise car cela est écrit sur de nombreux panneaux pour te remettre sur le bon chemin au cas où...
En plus, on sent une autre considération avec comme exemple : on se gare sur un parking en laissant une portière ouverte volontairement, et de suite, un passant nous informe de notre méfait très gentiment; même les motards laissent leurs casques sur les motos , déjà on se retrouve dans un autre monde!

Avec la nature, c'est la même chose : le passage par Cedar et la traversée de ces forêts et prairies verdoyantes, précède leurs couleurs ocres du secteur de Bryce canyon que nous découvrons d'abord à Red canyon (un nom qui parle à lui tout seul).

Nous prenons pension d'une maison de village au carrefour du bled de Panguich où l'animation se concentre au bar-restaurant (plein ce samedi soir), à l'alimentation où on achètera le steack (sirloin à moins de 5€ le kg) pour le BBQ au gaz, à la station essence où l'accident pour lequel pompiers, shériff, police et ambulance, rien que ça, arrivent avant que les conducteurs sortent de leur voiture pour constater les dégats matériels sous les yeux des locaux qui sont sortis pour l'occasion, car depuis l'arrestation de Butch Cassidy, l'enfant terrible du coin, c'est plus calme.
....

Butch, Bonny,Annie

dimanche 28 juillet 2013

Sin city

Comment dans ce pays puritain, un mirage a-t-il pu pousser et surtout comment avec si peu de miracle, le succès est-il toujours aussi important, même si certains y laisseront leur chemise;

Un concentré de l'Amérique se croise sur les trottoirs, dans les casinos, halls et ascenseurs d'hôtel, aux spectacles en salle et/ou en plein air,dans les outlets où certains arrivent les mains dans les poches et repartent avec les valises pleines;Michèle s'est abstenue se réservant surement pour L.A.

Ou comment dans une ville en apercevoir plusieurs avec des ressemblances importantes :

A New York, nous poserons nos bagages au 25ème étage aux lits trop bien, grands et confortables qui donnent envie de se coucher pour dormir, mais pas de suite, plutôt flâner dans Greenwich, Broadway, time square avant de retrouver la cohue, le mot est faible, sur le strip, ni poker, ni tease pour visiter les différents lieux d'inspiration variée comme le MGM, mais les lions sont partis à la retraite et on ne les entend plus rugir, le MM'S pour sucer quelques bonbons, le Harley Davidson café, où les Hell's Angels y retrouvent leurs chevaux favoris, dont les steaks (14 ounces) sont excellents, ainsi que leurs burgers sans sauce (incroyable), au Hard rock café où tu en prends plein les oreilles avec Judas Priest,Ozzy Osborne,Kiss & co, pas vraiment les plus romantiques et calmes, en comparaison au Vénétian avec le charme de ses gondoles, canaux,palais et place St Marc,au Paris avec sa tour Eiffel et ses armatures métalliques qui dominent ses placettes, ses rues pavées des faubourgs, faisant face au Bellagio et son lac alpin aux jeux d'eau, sons et lumières compris évidemment, et j'en passe comme le Luxor et sa pyramide, le Monte-carlo pour son buffet sans Nadal.

Animations permanentes, sons et surtout lumières exceptionnelles, une débauche d'énergie (bonjour aux écolos au passage), mais c'est bien l'image de l'Amérique dans toute sa splendeur, capable du meilleur comme du pire, en plus avec une chaleur accablante de 109°f (43°), un peu moins que chez nous!

Nous taillerons une bavette avec JR et Sue Helen de Southfork, mais si j'ai réussi à comprendre quelques idées de JR ce texan d'origine allemande de Strasbourg (une leçon de géo made in US),j'ai laissé jacquasser Sue en hochant la tête avec mon sourire en coin des plus conscilliants, et le plus surprenant c'est qu'ils ne connaissent pas nos futures destinations à part L.A puisque JR y était né : impressionnant comme ouverture d'esprit.

Heureusement que Derek from TORONTO, un ANGLO-SAXON pourtant échangera en français quelques mots autour d'une bière avant qu'il ne parte à sa convention animale, pas féminine, mais pour les pets familiers dont il fait le commerce lucratif;les canadiens assurent surtout les Québécois évidemment auxquels on pense de temps en temps (bises à Julien & co).

Malheureusement pour nous, nous rentreront au bercail moins riches que souhaité puisque notre passage aux machines à sous s'est terminé par un solde négatif, même si on a eu droit pour commence par profiter des gains d'un joueur qui est parti sans les jouer!Imaginez qu'on ait gagné sur ses mises?pas de miracle cependant, même avec la chaussure de cendrillon.

cette étape complètement folle, FULL CRAZY, comme dans un film démesuré, presque irréel, d'un autre monde se termine pour un changement radical à la prochaine étape.

Bugsy, Marylin,Britney

mercredi 24 juillet 2013

Welcome to United States

Surprise à l'atterrissage à L.A avec le même ciel qu'à Londres et une température à peine supérieure à celle de notre départ matinal.

Coup de pression pour faire monter la température : on ne sait toujours pas vraiment comment cela s'est passé,(un coup de David Copperfield surement) mais en sortant les filles prennent l'aile gauche et moi la droite, elles arrivent les 1eres à la passerelle pour m'attendre, mais ne me voient pas et on se retrouvera une fois que tous les passagers auront évacué, alors que je faisais les 100 pas à la douane en demandant de lancer un appel, évidemment refusé (on n'est pas au cirque , ni au supermarché, ni sur TF1), et pour se faire discret il y a mieux : ambiance, ambiance d'entrée!

On récupère chez Alamo, notre char (expression québécoise de circonstance), SUV Nissan Rogue, un peu décevant car je pensais que les japonais avaient toutes les options, mais ce modèle n'a même pas les rétros électriques, ni la clim séparée, heureusement qu'on peut monter les sièges;
Ce char me parait imposant , mais sur la route on s'aperçoit rapidement qu'il y a bien plus imposant
(Nat, le Q7 semble petit ici).

Installation au Travelodge www.travelodgelax.com à proximité : bien joué la planification nous évitant de sortir le GPS ou les cartes du coin et de se perdre dans la circulation de ces freeways multiples.

1ère action : couper la clim (un frigo cette chambre) que Conception, notre mexicano de service par réflexe local nous a mis, ou comment protéger facilement la nature sans se forcer (pas de longs discours, juste des actes simples).

Nuit de récupération (on espère)

Sheriff, squaw et starlette

dimanche 21 juillet 2013

Destination L.A

Dimanche 21 Juillet

Lever matinal (early hop) à 5heures du mat (j'ai pas de frissons, il fait encore 19 degrés), avant le coq pour une fois, la route est déserte, juste 2 pintades qui s'échappent en courant de chez MARVIN'S Pub(Piou laisse son capital profiter en plein air), et traversent la route à toutes jambes (les coqs sont largués, surement trop alcoolisés) pour ne pas passer à la casserole.

Enregistrement avec une hôtesse de British Airways "chaleureuse" comme une porte de prison qui pourrait aussi bien travailler chez Air France, ou comment se faire apprécier par les frenchies!

Exceptionnellement, on prend un Airbus A319 pour une compagnie qui n'est pas la plus européenne, bien qu'elle a récemment pris livraison d'un A380 : quel progrès.

On part à 8h25 pour arriver à la même heure à Londres, ou comment ne pas perdre son temps : so british of course.

Heathrow grouille déjà de monde de partout : ça réveille et on fait une pause à côté de R2D2

samedi 20 juillet 2013

Hotel California

Un signe qui se manifeste comme pour rappeler que la prochaine échéance approche :

Sur la route,pas la route 66, mais celle du Gers du côté de Samatan sur les ondes d'une radio locale à l'audience nationale, retentit le titre d'une jeunesse, la notre, celle de nos 1ers slows (ça n'existe plus aujourd'hui ce type de danse) dans nos boums d'après-midi (une autre génération je me répète)
http://www.dailymotion.com/video/xd0kws_eagles-hotel-california-1976-music_music#.Uer2KDQur44.blogger
Sur cette vidéo, les EAGLES ont aussi pris quelques rides : http://www.dailymotion.com/video/xvn5rp_eagles-hotel-california-1080p-hq_music#.Uerzw0cE9FM.blogger

Tout ça pour dire, que les bagages sont prêts, et surtout les hôtels de la côte ouest sont bookés, à la trantoulade, notre moustachu organisateur planificateur se reconnaitra, mais c'est exceptionnel pour nous qui partons en principe qu'avec l'hôtel à destination seulement réservé et vaquons suivant le feeling.

Donc, là le circuit est déjà tracé, et nous vous le ferons découvrir au fur et à mesure; ne vous inquiétez pas, il y aura quelques mésaventures ou surprises...

samedi 2 février 2013

SUPERBOWL - 49ers

L'attente dure depuis 18ans pour les fans des Niners, même si aujourd'hui ils sont une franchise de l'ouest (la même à l'est du pays avec les Giants de New York). 
L'histoire des San Francisco 49ers débuta avec un nouvel entraîneur, Bill Walsh, et un quarterback qui va devenir une icone Joe Montana

Le premier développa un jeu à base de passes courtes, pour étirer les défenses adverses en favorisant des jeux au sol et de longues passes. 

Le second Joe Montana en devint le chef d’orchestre pour obtenir en janvier 1982, le premier Superbowl, face à Cincinnati (26-21). 
En 1985, les Californiens remettent ça  après n’avoir perdu qu’un seul match dans l’année. 
Face à eux se dressait les Dolphins de Miami et leur star Dan Marino, qui ne pourront rien face au meilleur joueur du match, Joe Montana , MVP, bien aidé aussi par le running back Roger Craig, auteur de trois touchdowns.

Il faudra attendre ensuite 1989, et encore contre Cincinnati, où la rencontre très serrée se dénoua dans les 5 dernières minutes grâce au chef d’œuvre de Joe Montana (remontée de 92 yards, qui trouva finalement John Taylor dans l’en-but (20-16).

Dans la foulée, les 49ers pulvérisent Denver en finale (55-10),en 1990.
Le dernier titre remonte à 1995 contre San Diego (49-26) et depuis l'attente est insupportable, mais pourrait enfin n'être qu'un mauvais rêve, bien que les adversaires les Ravens de Baltimore soient un bon calibre.
La particularité de cette finale sera la présence des frères Harbough sur les bancs opposés de chaque équipe comme coach.

Wait and see, donc et bonne nuit courte et comme on dit là-bas : Show must go on!
Quelques fans seront éveillés du côté d'Aix en provence et des Argonautes après avoir effectué les études du côté de Washington et être retenu au sport-études; 
Dommage que la nature n'a pas associée la hauteur naturelle avec la largeur d'épaule d'un père judoka

Surprise de dernière minute puisque j'apprends que l'évènement est retransmis sur W9, chaîne gratuite, mieux que Canal+, avec comme intervenant Richard Tardy, seul français (ex Argonaute) à avoir joué comme pro là-bas;
Evidemment, c'est du spectacle à l'américaine avec l'hymne du pays chanté par Alicia Key,
avant de lâcher les chevaux, plutôt les corbeaux qui vont mettre la pression sur la première partie en menant largement jusqu'au break et le show de Behonce;
Bon, comme le lundi il y a aussi boulot, je n'attendrai pas la coupure qui a réveillé les 49ers pour un suspens au final mais sans succès (34-31)
Ray Lewis peut mettre un terme en beauté à sa carrière à l’issue du match gagné dimanche au Superdome de la Nouvelle-Orléans. C’était l’un des plus grands défenseurs que la NFL ait connu (il était déjà là lors du premier, en 2001).